JUMP : les vélos électriques d’Uber accusés de concurrence déloyale
Voici “JUMP”, le nouveau vélo électrique en libre-service à Bruxelles.
Après Berlin, Paris, Lisbonne et Madrid, les vélos rouges d’Uber sont arrivés dans la capitale belge. Depuis le 25 avril, 500 vélos rouges sont désormais répartis dans toute la ville pour le plus grand plaisir du ministre de la Mobilité, François Bellot, qui souhaite voir moins de voitures. Mais l’industrie européenne du vélo est inquiète : elle craint que ce type de véhicules électriques, fabriqués massivement en Chine, ne finisse par causer du tort aux entreprises européennes.
Evangelia
Anevlavi, conseiller juridique chez l’Association des Fabricants de Vélos
Européens (EBMA) pose le problème.
« En ce
moment, nous luttons et combattons les importations illégales subventionnées,
car nous constatons une surreprésentation des vélos développés en Chine.
L’offre représente presque 5 fois la demande de l’Union européenne. Cela
s’explique par les subventions massives et illégales que le gouvernement
chinois a accordées aux producteurs chinois. À l’heure actuelle, nous pensons
que l’industrie européenne du vélo est importante et nous voulons survivre ».
Pour les aider à survivre, en janvier dernier, le département du commerce de la Commission européenne a imposé une série de droits sur les vélos électriques chinois importés. Et ça semble fonctionner.
Ces mesures ont sauvé cette entreprise familiale de vélos, basée à l’extérieur de Bruxelles.
Les normes de qualité sont beaucoup plus élevées en Europe. Par exemple, si vous avez un problème avec le vélo, et que vous voulez attaquer les Chinois devant le tribunal, ils ne viendront pas. Le fabricant européen, lui, est responsable de ce qu’il fait. Je pense que c’est une bonne chance de protéger notre marché et de protéger notre sécurité sociale ainsi que nos travailleurs contre la concurrence déloyale.
Johan Huygens
Directeur général chez Scott Sportech Benelux
Selon Laurent Ruessmann, associé principal dans le cabinet d’avocat anglais Fieldfisher, ces mesures sont primordiales et indispensables.
« Sans ces mesures, l’industrie n’aurait pas survécu, elle aurait été anéantie comme elle l’a été aux Etats-Unis et au Japon, qui n’ont rien fait pour lutter contre le commerce déloyal en provenance de Chine ». Ces lois anti-dumping, qui ont suscité de vives protestations de la part de Pékin, sont les dernières d’une série de mesure prises par l’Union européenne contre les exportations chinoises.
Pour lire l’article complet, cliquez ici.
Europäische Fahrradindustrie besorgt über Ubers neue E-Bikes
Das Unternehmen Uber hat in verschiedenen europäischen Städten Elektrofahrräder bereitgestellt. In Berlin sind beispielsweise 1000, in Brüssel 500 der roten Fahrräder zu finden. Sie sollen als Alternative zum Auto dienen und so dazu beitragen, dass der CO2-Austoß reduziert wird. Uber ist nicht der einzige Anbieter, der E-Bikes zum Mieten in Städten positioniert. Die europäische Fahrradindustrie ist deshalb besorgt, dass die Massenprodukte aus China ihnen das Geschäft ruinieren. “Momentan kämpfen wir gegen illegal subventionierte Importe, da die in China entwickelten Fahrräder fast fünfmal so viele sind wie die Nachfrage in der EU. Das geschah durch massive und illegale Subventionen, die die chinesische Regierung den chinesischen Fahrradherstellern gewährt hat. Wir glauben, dass die Fahrradindustrie der EU wichtig ist, und wir wollen überleben”, sagte Evangelia Anevlavi von der European Bicycle Manufacturers Association. EU-Kommission unterstützt europäische Unternehmen Die EU-Kommission hat E-Bikes aus China mit Strafzöllen belegt, um gegen gedumpte Preise vorzugehen und die europäische Industrie zu unterstützen. Diese Maßnahme spüren lokale Unternehmen, wie der Geschäftsführer eines Fahrradladens in der Nähe von Brüssel erzählt. “Die Qualitätsstandards sind in Europa deutlich höher. Wenn man beispielsweise ein Problem mit dem Fahrrad hat und man gegen die Chinesen vor Gericht zieht, werden sie nicht auftauchen. Als europäischer Hersteller ist man für das verantwortlich, was man getan hat. Deshalb halte ich es für eine gute Sache, dass wir unseren Markt schützen und unsere Arbeitnehmer vor unlauterem Wettbewerb schützen”, sagte Johan Huygens, Geschäftsführer von Scott Sportech Benelux. Dieser EU-Beobachter und Wirtschaftsanwalt sieht das genauso. “Ohne diese Maßnahmen hätte die Industrie nicht überlebt. Die Industrie wäre ausgelöscht worden, wie in den USA und Japan, die nichts gegen den unfairen Handel von China getan haben”, sagte Laurent Ruessmann, Seniorpartner bei Fieldfisher. Uber hatte das Start-Up Jump Anfang April 2018 übernommen. Der E-Rad-Vermittler hatte seit 2010 mehr als 12 000 E-Bikes in 40 Städten in sechs Ländern auf die Straße gebracht. Die Elektro-Fahrräder sind nicht auf feste Docking-Plätze angewiesen, sondern können überall abgestellt werden. Neben Berlin sollen die Fahrräder bald auch in weiteren Städten Deutschlands verfügbar sein.
Klicken Sie hier, um den ganzen Artikel zu lesen:
La industria de la bicileta europea aplaude las medidas ‘antidumping’ de la UE
Las bicicletas eléctricas están de moda y Uber lo sabe, por ello ha desplegado 500 Jumps en Bruselas fildena from canada online. Se trata de un servicio de bicicletas compartidas que se presenta como una alternativa de transporte libre de emisiones. La industria europea teme verse perjudicada por la fabricación masiva de estas bicicletas en China.
Evangelia Anevlavi, Asociación Europea de Fabricantes de Bicicletas: «En este momento estamos luchando contra estas importaciones ilegales subvencionadas debido a la enorme cantidad de bicicletas fabricadas en China, que es casi cinco veces mayor que la demanda de la Unión Europea. Esto se ha producido debido a las subvenciones masivas e ilegales que el gobierno chino ha estado concediendo a los productores de bicicletas chinos. En este momento, creemos que la industria de la bicicleta de la Unión Europea es importante y queremos sobrevivir.»
Con este cometido, el Departamento de Comercio de la Comisión Europea impuso una serie de impuestos a las bicicletas electrónicas importadas desde China. Parece que la medida, de momento, está dando resultado.
Johan Huygens, Director General de Scott Sportech Benelux: «Los estándares de calidad son bastante más altos en Europa. Por ejemplo, si tienes un problema con la bicicleta, y quieres denunciar ante un tribunal, los chinos no vendrán. Como fabricante europeo, eres responsable de lo que haces, así que creo que es bueno que protejamos nuestro mercado, nuestra seguridad social y a nuestros trabajadores contra la competencia desleal.»
Laurent Ruessmann, observador de la Unión Europea, abogado mercantil y socio principal de Fieldfisher, está de acuerdo: «Sin estas medidas la industria no habría sobrevivido, la industria habría sido aniquilada como en Estados Unidos y Japón, que no hicieron nada para frenar el comercio desleal procedente de China.» Los aranceles antidumping son la última de una serie de medidas de la Unión Europea contra las exportaciones chinas que han suscitado críticas desde Pekín.
Puede consultar el artículo completo eneste enlace.